Présentation

Une passion née sur le terrain

Je me souviens de ce jour comme si c’était hier.
Un match de double en pré-nationale de tennis, contre une équipe favorite, sur leur terrain.
Ils étaient plus forts, mieux classés, et tout le monde pensait qu’ils allaient nous écraser.

Pourtant, pendant deux heures, on les a fait douter.
On les a poussés dans leurs retranchements, on les a forcés à jouer un énorme tennis. Leur meilleur ? On ne sait pas, mais sûrement pas loin en tout cas.
Chaque point était une bataille, chaque échange était un défi, et plus le match avançait, plus le niveau de jeu montait.

Les deux équipes se forçaient à se surpasser, à jouer toujours mieux, toujours plus fort. C’était comme une escalade émotionnelle, un crescendo de tension et d’intensité.

L’autre double avait déjà terminé, tout le monde regardait la fin de notre match.
Les adhérents du club adverse, le reste des deux équipes, tous les regards étaient braqués sur nous.

1 set partout.
On entamait un super tie-break mémorable, où chaque point était un highlight, où rien n’était donné.
On enchainait les coups gagnants, en jouant le meilleur tennis de notre vie, tout nous réussissait.

Je me souviens être entré dans une transe totale.
Je ne ratais plus rien.
Je ne percevais plus rien autour de moi, juste la balle, le terrain, le jeu.

8-1. On menait largement.
Mais ils n’ont jamais abandonné, ils ont haussé leur niveau de jeu d’un cran incroyable.
On s’est battu point par point, mais ils ont sorti des coups de génie, des points stratosphériques qu’on ne pouvait qu’admirer.

8-4.
8-7.
On sentait la pression monter, le doute s’installer, mais on continuait à se battre sur chaque balle. Tout le monde autour vivait le match intensément.
On m’a raconté que les spectateurs retenaient leur souffle, que chaque point était vécu comme un coup de tonnerre, que l’émotion était palpable, presque écrasante.

9-8 pour eux.
On était parvenu à revenir à 9-9, dans une intensité émotionnelle indescriptible.
On était au bord de l’exploit, à deux points de la victoire.

Et puis, la balle de match.
Un échange stratosphérique, un point qui aurait pu être diffusé à la télé tant il était spectaculaire.
Ils gagnent 11-9.
Ils ont sorti le meilleur de leur jeu, ils ont trouvé des ressources incroyables.
On n’a pas baissé notre niveau, on ne s’est pas écroulés, mais ils ont été monstrueux.

On a perdu le match, à deux points de l’exploit, mais à ce moment précis, la déception s’est mélangée à autre chose.

C’était comme une redescente d’émotions, un vide immense, mais aussi une fierté indescriptible.
On avait tout donné, on avait marqué les esprits, et même si les adversaires avaient gagné, ils ne pouvaient cacher leur soulagement.
Ils avaient dû sortir le meilleur de leur jeu, et leur explosion de joie montrait à quel point on les avait poussés dans leurs retranchements.

À ce moment-là, j’ai compris quelque chose de profond :
Le sport, ce n’est pas seulement une compétition, ce n’est pas juste gagner ou perdre.
C’est vibrer, ressentir, partager.
C’est vivre des émotions intenses, que l’on soit acteur ou spectateur.
Des moments comme ça, même à un niveau amateur, ça reste gravé à jamais.

Ma passion pour le dessin...

Depuis tout petit, le dessin fait partie de ma vie. Je dessine depuis mes 5 ans, j’ai toujours été le gamin qui gribouille pendant les cours, celui qui dessine ses personnages de manga préférés. J’ai grandi avec un crayon dans la main, à imaginer des univers, à transmettre des émotions sur papier.

...Et le sport

Mais le sport aussi a toujours été une passion.
En parallèle de mes dessins, j’ai passé des années sur le terrain, d’abord comme entraîneur, puis comme directeur sportif d’un club.
J’ai vécu le sport à 100%, j’ai vu des joueuses et des joueurs douter, mais aussi se relever, des victoires éclatantes et des défaites écrasantes. J’ai toujours vibré pour ces deux passions, et j’ai toujours su que je voulais en faire mon métier.
Mais pendant longtemps, je n’ai pas su comment les réunir. C’est en commençant à me professionnaliser dans le dessin que j’ai eu une révélation :
Pourquoi ne pas mettre mon crayon au service de ma deuxième passion, le sport ?
Pourquoi ne pas transmettre ces émotions sportives à travers des visuels percutants, des identités visuelles fortes, des designs qui marquent les esprits ?
C’est comme ça que /RAM Studio est né.

la naissance de /ram - /rise and move

rise and move

...c’est bien plus qu’un nom de marque.
C’est un cri de ralliement, une invitation à se lever et à agir, à se dépasser à chaque instant.
Parce que le sport m’a appris à ne jamais abandonner, à toujours aller de l’avant, à relever les défis les plus durs.

RAM (Bélier)

Le bélier, c’est la force brute, la détermination inébranlable, le courage de foncer sans hésiter.
C’est une énergie pure, une force en mouvement, exactement ce que je veux insuffler dans mes créations graphiques.

Le slash "/"

Un simple slash, mais une rupture puissante avec le conventionnel.
/RAM représente le mouvement, l’audace, la modernité.
C’est une signature graphique qui marque une différence, qui ose aller à contre-courant.

Une mission claire

Mon objectif est de remettre le sport au premier plan, à une époque où les distractions numériques nous éloignent du mouvement.
Je veux valoriser les structures locales, les clubs, les coachs, les athlètes qui donnent vie au sport dans nos villes et nos villages. Je veux retranscrire l’intensité des émotions sportives dans chaque visuel, dans chaque création graphique.
Pour que même à distance, le public puisse ressentir l’énergie et la passion du sport.

Je m’appelle Baptiste Bélier, et si vous avez envie de marquer les esprits, si vous partagez cette vision du sport, alors je vous invite à me contacter.
Ensemble, nous créerons une identité forte, percutante et mémorable.

🚀Rejoignez le mouvement !  /Rise And Move !

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